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07 octobre 2021

Jean-Philippe Thibault - jpthibault@medialo.ca

Le Cégep lance un programme d’écotourisme en Tunisie

GASPÉSIE

Tunisie

©Photo Cégep de la Gaspésie et des Îles

Les deux cégeps de l’Est-du-Québec ont élaboré ce programme en partenariat avec deux instituts supérieurs des études technologiques tunisiens.

Le Cégep de la Gaspésie et des Îles et le Cégep de Matane – membres du consortium Groupe Collegia – ont annoncé la semaine dernière l’accréditation d’un programme de formation en gestion de l’écotourisme en Tunisie.

Les deux institutions collégiales ont élaboré ce programme en partenariat avec deux instituts supérieurs des études technologiques tunisiens, soit l’ISET du Kef (région nord-ouest) et l’ISET de Kébili (région sud-ouest). Elles accompagneront dorénavant leurs partenaires dans la phase d’implantation de ce nouveau programme s’inspirant de l’approche par compétences, mise en place depuis plusieurs décennies dans les cégeps. Dès le mois d’octobre, les deux ISET accueilleront leur première cohorte étudiante dans ce nouveau parcours de formation.

En mars dernier, l’autorité responsable de l’habilitation des programmes au ministère tunisien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a habilité ce nouveau parcours de formation offert aux étudiantes et étudiants en troisième année d’études supérieures en économie et gestion, qui intègre à la fois une session de cours et un stage.

Pour Romdhane Othmani, directeur de l’ISET du Kef, cette démarche en collaboration étroite avec les deux équipes a abouti à un programme qui reflète un besoin socioéconomique de la région « vu la richesse et la diversité des éléments qui peuvent initier les futurs diplômés à s’engager dans le domaine de l’écotourisme. » Yvonne Langford, conseillère pédagogique du Cégep de la Gaspésie et des Îles et coordonnatrice de ces projets, y a œuvré de près. « On y a travaillé pendant presque une année, en faisant tout à distance, à commencer par des entrevues avec des petits entrepreneurs touristiques, qui offrent par exemple des séjours dans des maisons d’hôte de la région du Kef ou des expériences en campement dans le désert du Sahara. Tout cela n’aurait pu se faire sans un engagement complet de nos vis-à-vis tunisiens », fait-elle remarquer

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