Une directrice pour la Zone d’innovation d’économie bleue

GRANDE-RIVIÈRE ET STE-THÉRÈSE

©Photo Gracieuseté

Gino Cyr, maire de Grande-Rivière, Jérôme-Alexandre Lavoie, conseiller économique dans Rocher-Percé, Marianne Brisson, Roberto Blondin, maire de Ste-Thérèse-de-Gaspé, André-Pierre Rossignol, président de la CDE, et Amélie Desrochers, directrice de l’innovation à la SOPER.

La Corporation de Développement Économique de Grande-Rivière a accueilli plus tôt cet été Marianne Brisson comme nouvelle directrice.

Cette dernière sera appelée à travailler à la mise en œuvre de la Zone d’économie bleue à Grande-Rivière et Sainte-Thérèse-de-Gaspé, un projet mené conjointement avec la Société de promotion économique de Rimouski (SOPER). Son embauche s'inscrit dans un désir commun de développer et de faciliter l’innovation dans le secteur halieutique, ainsi que de positionner la région comme pôle d’expertise et de savoir-faire à l’international. La démarche vise la commercialisation des innovations, l’attraction d’investissements privés ainsi que la croissance propre et durable dans le secteur halieutique.

Marianne Brisson est détentrice d’un baccalauréat en études politiques appliquées et relations internationales de l’Université de Sherbrooke, ainsi que d’une maîtrise en gestion des affaires internationales de HEC Montréal. En 2019, elle a été sélectionnée comme l’une des deux boursières internationales en conservation marine par l’université Duke, aux États-Unis. Elle a également travaillé comme conseillère politique et régionale au sein du cabinet de la ministre des pêches, des océans ainsi que de la Garde côtière, en plus d’avoir travaillé au cabinet du ministre du commerce international, au bureau de la députée de Gaspésie-Les-Îles-de-la-Madeleine et au Service météorologique du Canada.

Les travaux conjoints avec la SOPER sont d’ailleurs d’ores et déjà commencé afin de mettre sur pied cette Zone d’innovation de l’économie bleue, qui permettra à la province d’affirmer sa place importante dans l’industrie maritime canadienne et nord-américaine. « Ça permettra au Québec de faire rayonner ses entreprises, ses talents, ainsi que son savoir- faire dans tous les domaines de la mer, en plus de créer des partenariats au niveau international. Un projet conjoint comme celui-là, c’est une excellente opportunité d’allier nos forces et de faire rayonner nos régions », explique Marianne Brisson.

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