01 octobre 2020

Jean-Philippe Thibault - jpthibault@medialo.ca

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©Photo Centre de services scolaire des Chic-Chocs

L’école Saint-Joseph-Alban de l’Anse-au-Griffon.

Le personnel de ces établissements est considéré à risque modéré et doit être en isolement pour une période de 14 jours. Le Centre de services scolaire des Chic-Chocs explique ne pas avoir le personnel suffisant pour assurer la continuité des apprentissages dans ces établissements. Il se voit donc dans l’obligation de fermer ces deux écoles. La reprise des cours est prévue pour le 13 octobre, à moins d’avis contraire.

« Nous rappelons à toutes nos communautés éducatives que notre priorité demeure la santé et la sécurité de nos élèves et de notre personnel. Nous veillons également à ce que tous nos élèves aient accès à des services de qualité, même si les apprentissages doivent se faire à distance », a expliqué par communiqué la directrice générale Deslilas Fournier.

Cette dernière rappelle que tous les parents seront contactés par le titulaire de leur enfant, afin que débute l’enseignement à distance le plus rapidement possible. Dans l’intervalle, pour de plus amples informations, les parents sont invités à s’adresser à la direction de l’école.

Quelques heures plus tôt, le Centre de services scolaire des Chic-Chocs a aussi annoncé qu’il collaborait avec la Direction régionale de santé publique à propos d’un cas confirmé de COVID-19 chez un employé affecté à trois établissements de son territoire, soit les écoles Saint-Joseph-Alban, aux Quatre-Vents (Rivière-au-Renard) et Saint-Paul. L’employé qui a été testé positif a effectué son dernier jour de travail le vendredi 25 septembre. Selon les informations préliminaires transmises, les élèves seraient considérés à risque faible par la Santé publique. Le Centre de services scolaire dit suivre la situation de près en collaboration avec les autorités régionales de la Santé publique.

Les parents de ces trois écoles sont d'ailleurs invités à surveiller le site Internet du CSSCC (www.cschic-chocs.qc.ca) ou bien la page Facebook de l’école que fréquente leur enfant pour suivre l’évolution de la situation.